Récemment, une violente altercation a éclaté à l’hôtel El Rancho, lors d’une réunion entre deux groupes de l’Accord du 21 décembre. Les images de la scène ont rapidement circulé sur les réseaux sociaux, montrant des échanges de coups de poing et des jets de chaises, ce qui a choqué l’opinion publique.
Le conflit a opposé les partisans du remplacement de Gérald Gilles à la tête du CPT à ceux qui s’y opposent. L’intensité des échanges reflète la tension croissante entre les différents clans au sein des anciens alliés du gouvernement d’Ariel Henry.
Cette altercation met en lumière les profondes divisions entre les membres de cette entente, accusés de privilégier leurs intérêts personnels au détriment du bien-être collectif. Le manque d’unité au sein de ces groupes remet en question leur capacité à atteindre leurs objectifs.
La scène de violence, bien qu’inquiétante, révèle la fragilité de la cohésion interne des acteurs politiques, laissant planer des doutes sur la stabilité future de cet accord et de ses signataires.